photo Lips #2 - Hydra / Valentina Medda, The Last Lamentation

Lips #2 - Hydra / Valentina Medda, The Last Lamentation

Exposition, Nature - Environnement, Festival généraliste

Aix-en-Provence 13090

Du 10/05/2025 au 25/05/2025

Vernissage le samedi 10 mai, de 14h à 19h, avec une lecture de "Non-noyées. Leçons féministes Noires apprises auprès des mammifères marines" d'Alexis Pauline Gumbs par Myriam Rabah-Konaté à 17h30 "The Last Lamentation" est une action rituelle pour la Méditerranée, perçue comme un lieu d’attente, de suspension et de passage, incarnant l’absence, un dépôt de corps et un corps en soi. Depuis la côte de Sardaigne — lieu natal de l’artiste — un groupe de performeuses réactualise les codes traditionnels du deuil méditerranéen en suivant une partition vocale et chorégraphique répétitive. Ce rituel partagé, adressé à la mer, relie les participantes à l’environnement et à toutes les formes de vie, pour finalement se transformer en une litanie. S’inscrivant dans la continuité des travaux précédents de l’artiste, ce projet interroge la nature du corps et ses limites, suggérant la possibilité de nouveaux corps liquides, de créatures aquatiques, de géographies incarnées et d’épistémologies fluides. "The Last Lamentation" est présentée par LABgamerz dans le cadre du festival Lips #2 - Hydra et du PAC - Printemps de l'art contemporain. En partenariat avec Marosi festival (Stromboli,[...]

photo Brigitte Manoukian - Le Lexique de la couturière

Brigitte Manoukian - Le Lexique de la couturière

Photographie - Vidéo, Lecture - Conte - Poésie

Aix-en-Provence 13090

Du 10/05/2025 au 07/06/2025

« Chez nous il est de coutume que l’aînée emporte un jour la malle, « el baúl ». La malle appartenait à mon arrière-grand-mère, Antonia Macho. Cette malle a vécu à Alpendeire, Pena Roya, Atajate, Ronda, La Linea, Tanger, Ceuta, Tetouan, Santa Perpetua de Mogoda, Barcelona, Aix... Quatre générations de femmes l’ont remplie d’objets de couturière. J’ai vidé la malle de tout ce qu’elle contenait : mariages, naissances, morts, douleurs, labeurs, peines, sortilèges, exils, pleurs... pour être remplie de ce que je décide. Voilà qui est fait. » La photographie est l’outil privilégié de l’artiste pour interroger les territoires et les sociétés qui les modèlent, sa démarche s’inscrit dans une exploration de l’image comme support narratif sous de multiples formes en s’ouvrant à des approches plasticiennes, ainsi qu’aux livres d’artiste. Ouverture samedi 10 mai à partir de 15h en présence de l ‘artiste.